vendredi 14 août 2009

Mein Kampf - Adolf Hitler

[La méthode de propagande d'un leader d'extrême-droite : spéculer sur une réalité indéniable pour promouvoir des idées totalitaires, pétries de haine. C'est ce que faisait Adolf Hitler, qui avouait :
"Quelle chance pour ceux qui gouvernent que les hommes ne pensent pas."]


Dans deux pièces d’une cave habite une famille de sept travailleurs. Sur les cinq enfants, un marmot de trois ans. C’est l’âge où un enfant prend conscience. […] L’étroitesse et l’encombrement du logement,sont une gêne de tous les instants : des querelles en résultent. Ces gens ne vivent pas ensemble mais sont tassés les uns sur les autres. Les minimes désaccords qui se résolvent d’eux-mêmes dans une maison spacieuse occasionnent ici d’incessantes disputes. […] Quand il s’agit des parents, les conflits quotidiens deviennent souvent grossiers et brutaux à un point inimaginable. Et les résultats de ces leçons de choses se font sentir chez les enfants. Il faut connaître ces milieux pour savoir jusqu’où peuvent aller l’ivresse, les mauvais traitements. Un malheureux gamin e six ans n’ignore pas des détails qui feraient frémir un adulte. […] ce petit citoyen s’en va à l’école publique et y apprend tout juste à lire et à écrire. Il n’est pas question de travail à la maison, où on lui parle de sa classe et de ses professeurs avec la pire grossièreté. Aucune institution humaine n’y est d’ailleurs respectée, depuis l’école jusqu’aux plus hauts corps de l’Etat ; religion, morale, nation et société, tout est traîné dans la boue. […] Les querelles commencent, et à mesure que l’homme se détache de sa femme, il se rapproche de l’alcool. […] Quand la nuit le ramène à la maison, le dimanche ou le lundi, ivre et brutal, mais les poches vides, des scènes pitoyables se déroulent…



Mein Kampf

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